S’aligner derrière la volonté du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, dans la lutte contre la corruption, sous toutes ses formes, dans tous les secteurs de la vie sociale congolaise, y compris celui du football, est et reste le cheval de bataille de Bosco Mwehu Kofela, depuis son avènement à la tête de la Ligue Nationale de football.
Ce qui lui a toujours attiré des foudres de la part des adeptes et disciples de cette gangrène et qui ne sont pas prêts à lui pardonner comme s’il avait commis un péché mortel. D’où la chasse à l’homme dont il devient, à l’heure qui’il est, victime depuis un certain temps.
La hargne de Bosco Mwehu ainsi que son attitude à barrer la route aux corrupteurs dans le secteur sportif lui créent maintenant des ennuis sur beaucoup de plans.
Il est, en effet, choquant de constater qu’après plusieurs tentatives infructueuses de faire ejecter Bosco Mwehu de son piedestal comme n°1 de la Commission de Gestion de la Linafoot, ces malfrats ont franchi la ligne rouge jusqu’à s’imiscer aussi bien dans sa vie professionnelle que privée, en faisant recours à des pratiques hitlério-staliniennes consistant à user des mensonges teintés de couleurs politiques politique via des déclarations proférées par des troubadours inconscients dans le seul but de matérialiser leurs intentions de nuisance contre l’impertubable Michel Bosco Mwehu Kofela.
Michel Bosco Mwehu Kofela en danger!
À en croire des sources sûres et concordantes, un seul dirigeant de club s’est porté garant pour l’exécution de ce plan machiavélique contre Bosco Mwehu.
Dans cette pernicieuse démarche, une personne anonyme de l’entourage de ce dirigeant véreux avait été mandatée expressément pour appeler Bosco Mwehu afin de lui annoncer, au téléphone, qu’ils le feront partir non seulement de son emploi à l’Office congolais de contrôle (OCC) mais aussi et surtout de l’espace footballistique national.
Ces menaces ont été proférées après des échecs répétés dans toutes les tentatives de corruption.
Mais voilà qu’à force d’échouer partout, la dernière et plausible option qu’ils ont choisie est celle de l’intoxication politique, de la machination, des inventions mensongères sans tête ni queue.
Sans vergogne aucune, ces comploteurs s’affichent, pour raison de trafiic d’influence, sous l’étiquette nominale de la famille biologique du Chef de l’Etat, oubliant que leurs faits et gestes, loin de passer incognito, sont sur le fil conducteur des services de sécurité.
Comme tout a un début et une fin, dans un très bref délai, cette filière sera mise à nue et révélée au grand jour.
Le football n’est rien d’autre que le fair-play!
Cet état des choses ci-haut décrié relève vraiment du domaine de l’insolite dans l’histoire récente et lointaine du football congolais. Chercher à attenter, par tous les moyens, à la vie d’un responsable de la Linafoot parce qu’il fait preuve d’intégrité morale, valeur rarissime tant recherchée depuis des lustres dans les milieux du football congolais, s’assimile à un terrorisme sportif sans précédent.
Ces dirigeants véreux croient être les plus nantis alors qu’avant eux, il y en a eu, de vrais dirigeants, amoureux et fous de football mais qui vehiculaient les vertus du football, léguant à la postérité des valeurs morales garanties. Du coup, ils sont devenus comme des modèles.
On se souviendra encore de certains comme Mundabi Fal Bob, Patchelli Makengo, Pathy Mungomba, Pierrot Mumbulu, Kurara Mpova, Ndongala Mavakala, la liste n’est pas exhaustive. si on remonte jusqu’à la décennie 70, période de l’âge d’or du football national, seul dénominateur commun de toutes les diverses tendances, liées aux couleurs des clubs, on ne saura retrouver ce genre de pratiques. Le football ne transforme pas des gens en ennemis mais les fédère et les met ensemble.
Le football étant une pratique codifiée où seuls les textes orientent tout, et la loi du plus fort, taillée en brèche, est totalement ignorée, n’en déplaise à ceux qui se targuent d’être des puissances, aux bourses bien garnies et se clament haut et fort comme des faiseurs des rois qui n’existent que dans leur tête et dans un univers chimérique, comme celui du « petit prince » des contes de fée.
Tout compte fait, il faut remercier Dieu et se réjouir des alertes lancées par le Ministre de la Justice et garde des sceaux, Constant Mutamba. Elles sont plus que réconfortantes dans la logique des enquêtes attendues afin de mettre hors s’état de nuire ces tireurs de ficelles dans la perpétuation des anti-valeurs qui polluent le monde du football congolais.
Ekofomonsengwo Wa Mulumba