Sous le haut patronage de la Députée nationale et Questeure adjointe de l’Assemblée nationale, Grâce Neema Paininye, La Fondation qui porte son nom était en réunion ce dimanche 16 mars, dans l’enceinte de la concession GB, avec les membres de la Coordination nationale ainsi que d’autres cadres venus pour la toute première fois.

Lors de sa prise de parole, avant de laisser place à la numéro un de cette structure, Fiston Fikiri Zabona, Coordonateur national de la Fondation, a brièvement expliqué ce qui a concouru à la mise en oeuvre de cette structure et surtout ce qui a déjà était fait aussi bien à Ango où la Fondation a fait ses preuves depuis plusieurs années qu’à Kinshasa où elle prend de plus en plus corps. « J’invite chacun de nous à s’acquitter du devoir de remplir sa fiche d’adhésion et surtout de contribuer mensuellement afin d’avoir sa carte de membre. Cette Fondation, nous voulons qu’elle soit implantée sur toute l’étendue de la République Démocratique du Congo, car Maman Grâce Neema est une femme politique très ambitieuse et appelée à assumer des responsabilités encore plus importantes dans ce pays. Nous sommes une structure agréée et en ordre avec les lois du pays. Nos statuts sont notariés et n’attendons que votre adhésion officielle pour propulser très haut cette Fondation. », a déclaré le Coordonnateur national.

Venu son tour de prendre la parole, dans son sourire légendaire qui transpire la joie de se retrouver ensemble avec ses frères et soeurs membres de la Fondation, Honorable Grâce Neema Paininye, s’est acquittée du noble devoir de saluer l’auditoire. Fidèle à son style fignolé et à son rôle de celle qui rassemble toujours, la PCA de la Fondation a exhorté tout le monde à regarder dans la même Direction, à se soutenir la main dans la main afin de relever le défi du développement qui est au centre de toutes les préoccupations de la société congolaise. L’amour entre nous doit primer sur tout si nous voulons atteindre nos objectifs. Dans le cadre de cette Fondation qui, selon moi, ne devait pas porter mon nom, nous avons des défis de développement à relever. Comme nous le demande le Président de la République, S. E Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, chacun de nous doit se distinguer en apportant sa pierre à l’édifice afin de construire un Congo nouveau. Et cela est possible. C’est pourquoi je voudrais que l’on fasse les choses différemment de ce qui existe. Avec un peu de volonté, de détermination et de sacrifice, les objectifs clairs et le souci de servir la Nation, nous pouvons y arriver. Je ne voudrais pas que cette Fondation ne se limite qu’à mon nom. J’aimerais que nous puissions, ensemble, marquer le temps. Nous devons être une Fondation pas comme les autres. Et je suis sûre que même le Ciel parlera de nous parce que notre leitmotiv, c’est de faire du bien à nos semblables, de leur donner du sourire. Moi, je crois en nous ici présents. On est tous comme des semences malgré le petit nombre et on se doit de produire du fruit. Lentement mais sûrement, avec tout ce que j’ai ci-haut énuméré comme qualité, on pourra obtenir les résultats escomptés. C’est ainsi qu’après mon intervention, je demanderai au Coordonnateur national de reprendre la parole pour reexpliquer les objectifs de la Fondation à ceux qui participent à notre activité pour la première fois, », a affirmé l’élue d’Ango.

« Voilà pourquoi je veux que cette occasion soit un véritable cadre d’échanges fraternels afin que chacun propose l’idée qu’il juge plausible pour l’avancée et la bonne marche de notre Fondation », a poursuivi la Visionnaire de la FGN.
Ce qui a ouvert le bal à des prises de parole qui se sont débouchées par des idées très enrichissantes et constructives en vue du bon fonctionnement de la Fondation, ce, après la lecture, expressis verbis, des objectifs que la Fondation s’est assignés. Chacun des intervenants a abondé dans le sens de donner à la FGN une portée nationale, voire internationale afin de pérenniser le nom de celle que d’aucuns appellent « Mère Theresa » suite à ses nombreuses actions de bonne foi qui sont palpables dans la province du Bas-Uele, précisément dans le territoire d’Ango. Quelques intervenants ont proposé que la FGN se penche sur des objectifs précis et relatifs à l’éducation et à la santé, par exemple, comme sa visionnaire le fait déjà dans la province du Bas-Uele.
Grosso modo, débutée en fin d’après-midi, la réunion s’est terminée vers 19hoo, dans une ambiance bon enfant.
Ghislain Boba